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ECOTOURISME - TOURISME RESPONSABLE

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teeda directrice de siam-holidays.com

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L’ECOTOURISME, UN TOURISME RESPONSABLE

 

La Thaïlande, comme beaucoup d’endroits dans le monde, victime de son succès a vu et voit encore croître de

manière exponentielle le nombre de touristes chaque année.

Les conséquences sont malheureusement dramatiques : destruction de la faune et de la flore, pollution, populations déplacées au rythme des constructions effrénées et encore bien d’autres effets induits et pervers. Organiser voyage Thailande. Circuit combiné Thailande Laos

Face à ce tourisme de masse il se développe heureusement une forme de tourisme plus responsable, plus écologique, plus respectueux de la planète et des populations. On peut l’appeler écotourisme mais je n’aime pas trop le terme car sa définition reste encore vague et peu encadrée malgré les efforts  déployés depuis de nombreuses années, donnant ainsi une porte largement ouverte à certains,  peu scrupuleux  qui revendiquent un label qu’elles n’appliquent pas.

Je préfère parler de tourisme responsable car la responsabilité est celle de chacun et celle-ci augmente au fil de voyages où les personnes sont initiées et comprennent de plus en plus l’intérêt et se transforment en ambassadeur auprès des autres. Thailande organiser son voyage.

Un tourisme responsable prendra en compte la préservation des sites et des populations et participera activement à la préservation  de l’existant.

Quelles sont les actions simples que l’on peut décrire comme actrices d’un tourisme responsable ?

  • Tout d’abord être en petit groupe. En se déplaçant à 6 ou à 8 on peut facilement (en qualité d’agence) éduquer beaucoup plus facilement qu’avec des groupes de 30 ou 40 personnes.

       Ensuite, en petit groupe on peut facilement, en se promenant dans un parc naturel, marcher en file indienne sur         un sentier sans aller piétiner la flore ou déranger la faune de part et d’autre.

 

  • Essayer de choisir des moyens de transport dont l’empreinte carbone est la plus basse. Sur ce sujet il y a beaucoup à dire car les avis sont partagés. En effet, on peut par exemple préférer un voyage en avion d’une heure par rapport à un transport en van de 12 heures. Je reste un peu interrogatif car il convient de tout intégrer. Durant un voyage de 12 heures on consommera du carburant (en avion aussi certes) mais également on consommera de l’eau en bouteille plastique, on s’arrêtera plusieurs fois pour se restaurer et ainsi on consommera de l’énergie, surtout si l’on s’arrête dans des endroits climatisés. D’autre part, le voyage étant beaucoup moins confortable qu’en avion, les touristes réticents auront tendance à rejoindre les adeptes du tourisme de masse gros consommateur d’énergie ce qui n’est pas le but.  

       Il est compliqué de faire un calcul précis sur l’empreinte carbone (même si des formules existent, elles restent             encore loin d’une science exacte) et je laisse à chacun choisir ce qui lui parait le plus juste.

 

  • Choisir de visiter des endroits qui sont préservés. Ceci est intéressant à double titre.

       Tout d’abord ce sera très formateur et les touristes seront beaucoup plus attentifs en découvrant des endroits               préservés et très beaux que s’ils sont dans des endroits surpeuplés avec des détritus partout.

       Ensuite, dans les endroits préservés il sera beaucoup plus facile d’aider les populations locales en consommant           sur place les produits du terroir ou l’artisanat local.

       Ce sera aussi choisir de travailler avec des acteurs locaux qui font de vrais efforts pour un tourisme responsable.

 

  • Avoir à l’esprit que l’eau est un bien rare et qui nous est vital. Prendre 5 douches par jours ne sert à rien, pas plus que laisser couler l’eau inutilement pendant que l’on se savonne.

       On évitera les activités à très fort impact comme les ballades en quads ou autres engins à moteur.

 

  • Eviter d’avoir trop d’emballages plastiques et surtout ne pas les jeter n’importe où. Certains vont dire que c’est compliqué d’avoir moins de plastique. Pour autant c’est possible.

 

       La Thaïlande est un des plus gros consommateurs de sacs plastiques au monde. Si vous allez dans un                             supermarché vous constaterez avec effroi qu’on vous met vos achats dans un nombre incroyable de sacs.                       Personnellement, et j’invite chacun à en faire de même, je vais faire mes achats avec un sac tissu et refuse les               sacs plastiques. Un petit geste, certes, mais un début d’éducation.

 

  • Choisir des hôtels ou des hébergements le plus près possible de ce que l’on veut visiter. Ceci parait logique mais on voit trop souvent des agences privilégier un emplacement par rapport à des critères purement économiques (ou mercantiles parfois) et c’est bien dommage.

       Faire 2kms pour aller faire une visite est évidemment beaucoup moins impactant que d’en faire 15 ou plus.

 

  • Quand l’on se promène dans la nature et spécialement dans les parcs nationaux on ne nourrira pas les animaux car ce n’est pas leur rendre service et les attire dans des secteurs où ils peuvent causer des dégâts.

 

  • Au niveau des populations locales on sera respectueux, ceci est aussi une part entière d’un tourisme responsable.

       Les populations locales et les villages ruraux ne sont pas des zoos humains et quand on veut prendre une photo           il est normal de demander l’autorisation avant. Ensuite, ces gens étant bien souvent pauvres, quelques bahts                 suffiront à les aider et vous fera découvrir leur large sourire de remerciement.

 

  • On respectera également la culture locale et la religion en adoptant une tenue adaptée dans les lieux de cultes notamment.

Personnellement, et c’est aussi une forme d’attitude responsable, nous faisons travailler exclusivement les populations locales (chauffeurs par exemple). Nous pourrions avoir notre propre chauffeur et notre propre véhicule mais en agissant ainsi nous ferions d’abord beaucoup plus de kms puisque nous nous déplacerions d’un point à l’autre du pays et nous ne ferions pas travailler les locaux mais un seul chauffeur.

Bien sûr, visiter la Thaïlande en écotourisme ou tourisme responsable à 100% est impossible.

C’est impossible car inévitablement nous allons dans des endroits qui sont très visités. Pour autant nous essayons de faire toujours au mieux et nous créons nos circuits en tenant compte au maximum des critères de ce qu’on appelle un tourisme responsable.

Enfin il est utile de noter que quand nous allons dans des villages à la rencontre des populations locales, partager leur repas ou dormir chez l’habitant, ceci est le fruit d’un long travail fait avec eux et se fait en accord avec leur culture et dans un total respect de leur personnalité et de leurs spécificités.

Tous nos circuits tentent de respecter au mieux une attitude de tourisme responsable, c'est une démarche volontaire qui nécessite une vraie implication et un travail long qui demande de la patience mais c'est aussi une vraie satisfaction et la nature nous rendra au centuple ce que nous faisons pour elle.

Dans tous nos circuits nous essayons le plus possible de prendre en compte ces paramètres et notre but est d'aller de plus en plus vers des circuits "tourisme responsable" dans toute leur dimension.

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